Il faisait froid, humide et mon tout premier regard sur le monde n'etais pas celui qu'un chaton a peine né espère rencontrer pour la première fois. Ce regard ? Celui des égouts vide avec ni mère, ni père uniquement de l'eau, de la boue et une odeur nauséabonde.
Après quelques jours sans bouger a se demander pourquoi la vie m'avais crée, réveillé par la faim qui parcourait le moindre poil de mon pelage abimé par cet environnement insalubre, l'instinct de survit pris place en moi comme si je n'étais plus maitresse de mon petit corps fragile, et c'est alors qu'avec la petite quantité de force qu'il me restais, j'allais enfin commencer ma vie, je me suis levé sur mes quatre petites pattes de chaton et j'ai porté se corps alourdis par l'eau et la fatigue. J'ai marcher pour la première fois, peut être un ou deux pas mais je l'ai fait et c'est alors que j'ai pris conscience que je ne baisserais plus jamais les bras. C'est alors que je me suis évanouie épuisée par ce tout petit effort qui avait parue à mes yeux gigantesque.
La mort ? C'est peut être pas si mal ... après tout, je ne vais manquer a personne ... Mais ? Qu'es ce que c'est que c'est bruit extérieur ? Et cette chaleur si réconfortante ? Ou sont passer mes égouts lugubres ?
Et c'est en ouvrant les yeux que j'ai aperçut la lumière, la vrai lumière celle du soleil qui faisait briller mon pelage qui avait retrouvé son éclat.
-Alors petit chaton ! On a voulu jouer au kamikaze ? Tu sais les égouts c'est pas la rigolade ! C'est pas un endroit ou on peux jouer ! Me dis alors un grand homme avec une grande moustache et un sourir assez rassurant.
Je n'avais pas la force de lui répondre et je ne savais meme pas si il me comprendrais, je ne connaissait rien du monde dans lequel j'étais.
-Allez mon petit ! Mange ! Après tu me racontera un peu pourquoi tu été dans se pétrin, je vois grand pour toi, j'ai un projet ! Après avoir déposer une gamelle de Lait prés du petit bou de tissus sur lequel j'étais coucher il s'en alla dans une autre pièce de la petite maison dans laquel je me situait.
Aprés avoir laper mon lait, tout allez deja mieux je me relevais donc encore une fois péniblement mais avec cette fois si une volonté d'acier et me dirigea vers la piece dans laquel l'homme été allé.
C'est alors qu'apparut devant moi une petite piece remplit de cartes, placarder sur les murs en guise de papier peint et au milieux de la piece une grande table autour de laquel jouaient des hommes habiller avec de grand vetement noir et des chapeau.
Le grand homme qui m'avais secourus aprés m'avoir vint vers moi et me dis : Tu vois, ca, c'est le jeu, et plus tard, tu seras une grande joueuse et tu vois les hommes la ? Tu vas tous les plumer car tu as une dette envers moi.
Le grand homme n'etait soudainement plus du tout rassurant, j'avais meme rensenti une seconde fois la peur, mais je n'avais personne c'est alors que l'homme me porta sur la table et j'observais tout les fait et gestes des joueurs.
Quelques années plus tard, mon quotidien avait changer, je jouais toute la journée avec une finesse et un jeu imprévisible, je ramener de l'argent a mon "Patron", je remplissait activement mon devoir ou du moin ma dette. Jusqu'au jour ou un homme plus fin et plus doué que moi se mit dans nos affaire.
Mon patron perdais de l'argent, je n'avais plus le même talents, je ne lui servait plus a rien.
Il c'est donc mit a me battre, tout les jours quand les recettes été mauvaise quand je fesais perdre de l'argent, il me disait que je n'étais plus utile et un soir d'hiver assez froid, aprés m'avoir battu, il c'est débarrassée de moi. Comment ? J'allais le découvrir quelque jours plus tard quand je retrouverais connaissance.
Il faisait froid, humide et mon tout premier regard sur le monde n'étais pas celui qu'un chaton a peine né espère rencontrer pour la première fois. Ce regard ? Celui des égouts vide avec ni mère, ni père uniquement de l'eau, de la boue et une odeur nauséabonde. J'avais deja entendu cette histoire et je ne voulais pas recommencer tout ca.
Cette fois si j'étais moins faible, je me suis relevé j'ai fouiller dans mes poches, j'y ai trouver des cartes, je suis ressorti des égouts, j'ai marché d'un pas décidé vers un endroit que je connaissait bien, j'ai défoncer la porte, je suis allez dans l'arrière boutique et la ... le tranchant de mes cartes a pris une tournure assez horrible, je venais de le tuer, la rage été un sentiment que je connaissait désormais et la je me suis dis que mes cartes serait la pour punir les monstres qui détruiraient ma vie et celle des innocent.
J'ai alors fuis cette ville, et me suis retrouver au bord d'un bateau qui avait pour destination une contré inconnue, Amakna, ca serais mon nouveau départ, ma nouvelle chance de servir les innocents comme l'innocente Kixy que j'étais avant.
Mer 14 Juil - 19:34
